01 mai 2023, 09:08
Salut! j'espère que tu vas bien
Alors il faut savoir que la bienfaisance est l'action de faire du bien au patient, on recherche le bien du patient et non un autre bien ( par exemple l'hôpital, l'argent etc...) par exemple le fait de soulager le patient, de le traiter, de le soigner , de lui donner la possibilité de choisir… le fait de soutenir les personnes handicapées, de prévenir les maladies etc... En revanche la non-malfaisance est le fait de ne pas nuire au patient tout en maximalisant les effets favorables et minimisant les effets délétères des actes médicaux. Il faut donc TOUJOURS évaluer le rapport « risques sur bénéfices » Il faut donc soigner le patient et même si le traitement n'est pas efficace à 100%, si on le donne malgré tout il faut qu'il y ait plus de bénéfices apportés au patient que si on ne lui donnait pas le traitement. En fait il faut vraiment qu'il y ait ce côté de balance entre bénéfices et risques, il faut éviter la souffrance de la personne: " à défaut de pouvoir sauver la personne, les médecins peuvent rendre ses derniers instants paisibles". Le fait d'interdire l'acharnement thérapeutique et donc l'abus de soins qui pourraient être inutiles peut décrire le principe de non-malfaisance.
Ici ton exemple ne marche pas pour le principe de non-malfaisance car il n'y a pas littéralement l'idée d'effet positif ou négatif, il est dit que ce n'est pas contre-indiqué mais rien cela nous montre la comparaison/rapport/balance bénéfices-risques.
J'espère que j'ai pu répondre à ta question.
La SH croit en toi, bon courage.